Bretagne : deux prêtres du Congo accusés de viol par des paroissiennes

La Rédaction
Démocratie Participative
16 janvier 2025

Avec ces curés noirs nous avons l’assurance qu’aucun d’entre eux n’est homosexuel. Par contre, ils sautent les Blanches dans leur presbytère.

France 3 :

C’est une information qui choque les paroissiens du diocèse de Saint-Brieuc. Deux prêtres du secteur de Loudéac, dans les Côtes-d’Armor, ont été suspendus. Ils n’ont donc plus le droit de célébrer de messes. Deux femmes ont dénoncé leur comportement. L’une d’entre elles a également porté plainte.

« Deux femmes adultes se sont manifestées auprès de l’Église pour se plaindre de leur comportement« , explique Monseigneur Denis Moutel, dans un communiqué de presse en date du 11 janvier 2025. Conformément au protocole, ce dernier a fait un signalement auprès du Procureur de la République.

Il confirme par ailleurs qu’une plainte a été déposée par l’une des plaignantes. « Je tiens à assurer ces deux femmes de mon soutien, de ma disponibilité et de ma prière. Pour elles comme pour leurs proches, je souhaite que la vérité soit faite sur les agissements dénoncés », a précisé l’évêque.

Selon les informations de nos confrères du Courrier Indépendant–Actu.fr, il s’agirait des prêtres Jean-Jacques Mayamba et père Théodore Kabutakapua.

Cette photo met extrêmement mal à l’aise et je n’oublie pas l’homosexuel blanc en soutane qui figure dans le lot.

Le père Laurent Le Meilleur en compagnie des trois nouveaux curés de la paroisse, père Jean-Marie Kalombo, père Théodore Kabutakapua, père Jean-Jacques Mayamba

Une enquête judiciaire est en cours. « Je souhaite que la justice puisse effectuer sereinement son travail pour établir la vérité et si une ou des infractions pénales ont été commises ou non. J’invite chacun à respecter le temps de l’enquête pour le bien de tous », a-t-il écrit dans son communiqué de presse.

L’évêque de Saint-Brieuc, Monseigneur Denis Moutel, était attendu à la messe ce dimanche 12 janvier 2025. Il est allé à la rencontre des fidèles, à qui il apporte son soutien.

Ils sont techniquement innocents à ce stade et en général mieux vaut se méfier des accusations de ce genre que portent les femmes blanches.

Il est possible que quelques unes de leurs conquêtes locales n’aient pas apprécié de découvrir que ces noirs du Congo étaient fort peu monogames. Sous l’effet de la jalousie, elles ont réécrit l’histoire pour se dire victimes de « viols » et échappé ainsi aux rumeurs assassines qui devaient déjà courir ici et là. D’autant que dans ces églises désertées, il n’y a que des rombières qui consacrent leurs journées à les répandre.

Ces curés d’Afrique n’ont pas vraiment besoin de violer. Les paroisses qu’ils parcourent nuit et jour sont peuplées de bigotes assoiffées de pénis noir et c’est encore plus vrai en Bretagne. Elles accourent d’elles-mêmes à leur porte avec mille excuses pour s’incruster et coucher avec eux.

Les prêtres blancs sont bien moins troublés car ils sont tous âgés et homosexuels, ce qu’ignorent les rombières qui les tourmentent sans succès.

Quoi qu’il en soit, l’Église catholique importe des noirs d’Afrique en masse en Europe et en France et ces développements n’ont rien d’étonnant.

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