La fécondité au plus bas depuis 1919, mais le nombre de Français augmente inexplicablement

La Rédaction
Démocratie Participative
14 janvier 2025

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Peut-être qu’en donnant plus de pouvoir et d’argent aux femmes, ça s’améliorera.

BFMTV :

L’Insee enregistre une baisse de 2,2% de naissances en moins en 2024 par rapport à 2023. L’indicateur conjoncturel de fécondité, qui s’établit désormais à 1,62 enfant par femme, n’a quant à lui jamais été aussi bas depuis 1919.

De plus en plus de Français, mais de moins en moins de naissances. L’Insee (L’Institut national de la statistique et des études économiques, NDLR) publie ce mardi 14 janvier son bilan démographique de l’année 2024. Avec 68,6 millions d’habitants (dont 66,4 millions en métropole) recensés au 1er janvier, le pays enregistre une augmentation de 0,25% de sa population (68,44 millions d’habitants).

Mais derrière cette augmentation se cache une information plus importante: en 2024, 663.000 bébés sont nés en France. C’est 2,2 % de moins qu’en 2023 et 21,5 % de moins qu’en 2010, année du dernier pic des naissances. La baisse constatée est cependant moins importante que celle entre 2022 et 2023 (-6,6%).

Le nombre de naissances dépend, d’une part, du nombre de femmes dites en âge d’avoir des enfants et, d’autre part, de leur fécondité. « Depuis 2016, la population féminine âgée de 20 à 40 ans a peu évolué en nombre », souligne l’Insee.

C’est curieux ça.

Moins il y a de Français, plus il y a de Français.

Je me demande comment c’est possible.

J’ai une théorie : cette république juive distribue des passeports comme de la monnaie de singe, à des singes.

On hait beaucoup les juges, mais on ne hait pas assez les préfets.

On ne haïra jamais assez ces enlogé.e.s. (je me mets à l’inclusif).

La caractéristique foncière du régime républicain est sa haine atavique envers les Français de sang.

Vous savez comment le mesurer ? C’est très simple : à la gueule de six pieds de long que n’importe quel fonctionnaire fait à un vrai Français et aux sourires que le même affiche face au dernier nègre illettré qui se donne la peine de venir aboyer dans son couloir.

Tous les prospectus de ces administrations sont des horreurs à la gloire des crépus.

Ça ne loupe jamais.

Faites attention la prochaine fois, prenez-en et parcourez-les.

Ce régime est en guerre contre les indigènes, d’une guerre sourde, absolue, permanente, de nuit comme de jour.

Ceci dit, les indigènes (les Blancs) peuvent riposter en faisant des enfants. Certes, quand un gouvernement ensevelit son peuple sous 500,000 colons supplémentaires par an, faire des enfants n’est pas la seule solution, mais en avorter 250,000 par an encore moins.

Combien de traînées blanches indignes ne poignardent-elles pas dans le dos leur propre peuple en pratiquant l’avortement avec pour seule excuse leur mode de vie catastrophique ?

Les responsables ultimes sont toutefois les hommes blancs qui refusent de les discipliner, de restaurer l’ordre social et d’assumer leur rôle en exerçant leur légitime dictature anthropologique. Après tout, il n’y a pas de pute sans maquereau.

Ce qui nous attend collectivement, c’est une guerre raciale généralisée, qu’elle soit ouverte ou larvée, avec dans nos rues, partout, jusque dans le dernier village, des masses à la peau sombre décidées à nous exterminer de cent façons différentes.

Le réveil va être brutal et chacun va bien devoir faire une profonde introspection.

Ce n’est pas une époque pour les timides.

Le dos au mur, une seule réponse : contre-attaque tous azimuts.

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