Lyon : un Nigérian essaie de casser la tête d’un bouc contre le trottoir « pour le manger »

La Rédaction
Démocratie Participative
15 janvier 2025

Personne ne sait exactement pourquoi il y a des Nigérians en France.

C’est un grand mystère.

Actu Lyon :

Une scène d’une grande violence qui a interpellé des passants s’est déroulée ce dimanche 12 janvier 2025 près de la gare Part-Dieu, dans le 3e arrondissement de Lyon. Des témoins, alertés par des cris d’animal en souffrance en provenance d’un sac transporté par un homme, ont appelé la police.

L’individu interpellé par la police est un Nigérian de 25 ans, selon nos confrères du Progrès, qui transportait un bouc vivant dans un sac de sport.

L’animal était emprisonné dans ce sac, muselé et les pattes attachées par des cordes. L’homme frappait le petit animal, essayait de lui tordre le cou et lui tapait la tête sur le sol, provoquant des hurlements du bouc.

Selon les premiers éléments de l’enquête ouverte, le suspect comptait abattre illégalement l’animal pour le manger.

La police a prévenu la SPA de Lyon pour prendre en charge l’animal blessé. Selon l’association, il présentait des signes de maltraitance et de faiblesse mais a pu s’en sortir. Il sera proposé à l’adoption et la police comme la SPA tentent de remonter la trace de sa provenance. Une plainte a été déposée par la Société protectrice des animaux.

Une enquête judiciaire est ouverte et le suspect devrait être poursuivi pour des faits de maltraitance sur animaux.

Ces Nigérians ont certainement été désinhibés par le fait que Macron leur parle dans leur petit nègre natal.

Se sentant chaleureusement accueillis, les Nigérians cassent la tête de boucs sur nos trottoirs.

Nous n’en sommes qu’au début de cette mode qui a vocation à devenir une tradition culturelle française.

Dans 75 ans, le Nigéria sera plus peuplé que la Chine avec près de 800 millions d’habitants.

Ça va faire beaucoup de Nigérians auxquels il faudra ajouter les autres noirs encore plus nombreux du continent africain. Si cela peut vous réconforter, les Maghrébins seront grand-remplacés d’ici là, submergés par une immense masse de noirs.

Prenez le Niger, qui est un grand désert, il comptera près de 200 millions de noirs vraiment très noirs. L’Éthiopie en pèsera 250 millions, le Congo près de 380 millions.

Ce sont des projections très modérées, l’ONU table plutôt sur quatre milliards de noirs.

En fait, aussi loin que porte le regard des démographes, personne ne décèle le moindre début de ralentissement de la prolifération de ces noirs, ce qui est une curiosité ethnographique. Il était tenu pour acquis que la croissance démographique est transitoire chez les peuples, mais il n’en est pas de même pour ces peuplades sub-sahariennes.

Les moins avertis s’interrogent, mais les raciologues éprouvés en connaissent la raison : les noirs d’Afrique ont un QI d’environ 70, généralement moins. Ce faible QI leur interdit d’avoir une conception même rudimentaire de la notion de futur. Ils ne comprennent pas qu’il existera une seconde après l’instant présent. Pour eux, tout n’est qu’un éternel présent.

Du coup, le nègre satisfait ses pulsions animales et baise. Il baise compulsivement ses négresses sans jamais se soucier de ce qui pourrait advenir à cause de sa bite. Les questions de ressources lui échappent complètement, quand bien même se trouve-t-il au bord de la famine.

Le nègre, en somme, est une espèce invasive et nuisible qui devrait théoriquement être traitée comme les espèces du même genre et strictement régulée, voire éradiquée. Hélas, les démocraties humanitaires alimentent le fléau à cause de milliards de dollars et il ne cesse de croître.

La presse fait encore mine de se scandaliser des comportements des noirs d’Afrique fraîchement débarqués en France, mais d’ici dix ans casser la tête des boucs sur le trottoir quand on est noir sera considéré comme une tradition protégée.

Préparons-nous à ce voisinage étonnant.

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