Mariama Le Pen avoue avoir été indigne en excluant son père du FN pour se soumettre aux juifs

La Rédaction
Démocratie Participative
13 janvier 2025

L’horrible Marine Le Pen a admis avoir agi comme une fille indigne en excluant Jean-Marie Le Pen du Front National avant d’en liquider la ligne et le nom.

Visiblement, la mort de son père a réveillé pour quelques heures un semblant d’âme enfoui sous des décennies d’aigreur et de méchanceté, mais déjà le naturel reprend le dessus et elle tente de se justifier avec des excuses bancales qui trahissent la malhonnêteté foncière de l’entreprise.

JDD :

Pourtant, il a confié à plusieurs personnes qu’il était conscient de commettre une erreur.

Le problème, c’est qu’il recommençait. Et c’est là où, moi, à un moment donné, j’ai dit stop. Parce que ce n’était plus possible. Vous ne pouvez pas donner de l’espoir à des gens, leur promettre un avenir meilleur, tout en leur imposant de vivre ce combat politique avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Prendre cette décision a été l’une des plus difficiles de ma vie. Et jusqu’à la fin de mon existence, je me poserai toujours la question : est-ce que j’aurais pu faire autrement ? C’est la grande interrogation qui m’habite. Est-ce que j’aurais pu éviter cela ?

Et est-ce que vous vous l’êtes pardonné ? 

Non, je ne me le pardonnerai jamais. (Silence)

Pourquoi ?

Parce que c’était son parti, mais en même temps, ce n’était plus seulement à lui. C’est toute l’ambiguïté. C’était son bébé, il l’avait créé, façonné, construit. Mais il n’en était plus le seul propriétaire. Ce parti appartenait à l’avenir du pays, à tous ceux qui y croyaient. Il n’avait plus le droit de le mettre en danger par provocation, orgueil ou je ne sais quoi. Il n’en avait plus le droit. Et c’est moi qui ai décidé qu’il n’en avait plus le droit. Prendre cette décision a été terriblement difficile. Je ne l’ai pas prise pour moi, car mon confort personnel aurait été de partir du mouvement.

On apprend aussi dans cette interview que les noirs musulmans de Mayotte ont donné un pseudonyme à leur reine.

De nombreuses images montrent des femmes mahoraises se jeter dans vos bras et vous parler. Comment avez-vous vécu ces moments ?

J’ai avec eux un lien indéniablement affectif. Ils m’appellent Mariama. Mayotte est une société matriarcale, et ce sont les femmes qui ont mené les grands combats politiques. Rappelez-vous l’histoire de Mayotte : ce sont les Chatouilleuses qui se sont battues pour que Mayotte reste française. Toutes des femmes. Quand vous faites un meeting politique là-bas, 95 % du public, ce sont des femmes. C’est surprenant ! Ils ressentent ce lien avec moi, et j’ai un lien affectif avec eux parce qu’ils savent que je les aime. Et il faut les aimer. 

Il faut rappeler que Mariama Le Pen a exclu son père du parti qu’il a fondé pour sa déclaration à propos de Patrick Benguigui « Bruel », déclaration pour laquelle il a été relaxé par la suite.

Aussi incroyable que cela paraisse, elle est allée plus loin que les juges du système.

À l’époque, Mariama avait délibérément hurlé avec les hyènes de la presse juive contre son père à propos de cette déclaration anodine plutôt que de le défendre.

Qui livre son propre père à une meute haineuse, a fortiori aux juifs ?

Un monstre.

Même Judas aurait eu des scrupules dans une telle situation.

Le fait est que Mariama a 54 ans et qu’elle vieillit très vite. La mort de son père lui rappelle qu’elle a consommé plus de la moitié de son temps en ce bas monde et que sa conscience la ronge de plus en plus.

Dans l’entretien, elle dit des énormités proprement choquantes sous l’effet de ses émotions.

Elle dit notamment ceci :

En vieillissant, en quittant en quelque sorte la vie politique, on nous a rendu un père qu’on nous avait toujours pris. La politique nous a tout pris, elle nous a volé notre père. Il était bien plus un dirigeant politique qu’un père dans sa vie quotidienne. Mais avec l’âge, en quittant progressivement la scène politique, il s’est recentré sur ce qui était vraiment important. Et pour lui, quoi qu’on en dise, ce qui comptait, c’était sa femme et c’était nous. Le reste n’avait plus d’importance. L’âge nous a permis de retrouver et de profiter de notre père. (Silence) Et nous étions heureuses de cela.

C’est un aveu catastrophique.

Pour Mariama, pourtant cheffe de parti, la politique est vécue comme un désastre. L’idée de sacrifier quoi que ce soit pour une idée plus grande que soi-même lui échappe complètement. Si elle y consent elle-même, c’est sous le poids d’obligations diverses et en édulcorant le discours pour ne pas s’attirer d’ennuis.

Toutes les femmes réfléchissent comme ça, les yeux fixés sur leur environnement relationnel immédiat.

La « dédiabolisation » voulue par Mariama n’est pas simplement une tactique, c’est l’entreprise d’une femme qui rejette en bloc les conditions de la lutte acceptées par son père.

Cet aveu a suscité un certain flou, au point que des blattes serviles commencent à pester.

Au RN, attaquer le cadavre de Jean-Marie Le Pen est désormais un rituel.

Jacobelli, un type transparent affublé d’un corps de lâche et d’une tête d’ahuri, a cru devoir déverser son fiel sur la mémoire du chef frontiste pour rassurer les médias.

Qui est ce type ?

Et qui est-il pour parler de « dérapages » ?

Lesquels ?

Vis-à-vis de qui ?

On croit rêver.

Le RN de Mariama est désastreux.

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