Mondanité macabre : les lepénistes interdits d’accéder à l’hommage en mémoire de Jean-Marie Le Pen

La Rédaction
Démocratie Participative
16 janvier 2025

 

Il faudra boire le calice mariniste jusqu’à la lie.

Quelle indignité.

C’est d’autant plus indigne que Thomas Joly était un ami politique et personnel de Jean-Marie, qu’Yvan Benedetti a défendu la ligne historique du Front contre l’alcoolo-tabagique, qu’à longueur d’éditoriaux Jérôme Bourbon a alerté le Menhir contre cette femme horrible dont l’obsession était de détruire l’oeuvre de sa vie.

Rien ne sera épargné aux hommes les plus loyaux de ce pays.

Pour mesurer plus complètement l’ignominie de cette situation, j’ajoute que Jean-Marie Le Pen est techniquement un ancien membre du Rassemblement National, exclu par sa fille.

Le RN célèbre en ce moment le fondateur du FN qu’il a chassé comme un voyou pour avoir théoriquement mal parlé de Patrick Benguigui Bruel.

Je pensais avoir à peu près tout vu en matière de bassesse en ce monde.

Tout aussi techniquement, il serait aujourd’hui interdit d’assister à cet hommage.

Si vous me prenez pour un fou, je rappellerais qu’il a été chassé du siège du FN par la force sur ordre de la monstrueuse reine de Mayotte. Le vieil homme est resté là, devant la porte de son mouvement, planté devant les caméras des médias juifs qui savouraient chaque seconde de la situation.

Un demi siècle de combats, de souffrances, de meetings, de débats, de coups dans le dos, de victoires, de défaites, pour se retrouver sur un trottoir, seul, encerclé de caméras, impuissant, humilié, pour un mot sur un chanteur juif qui aboutira à une relaxe de la justice.

Le vieil homme Le Pen avait du subir ce supplice à l’âge de 87 ans.

Je vous souhaite d’être encore capable de marcher à 80 ans.

Je ne voudrais pas oublier la perfide Marion Auque.

Celle-là même qui adopta le nom Le Pen à l’état-civil pour se présenter en 2012 à Carpentras sous le parrainage de son grand-père avant d’exiger du même état-civil qu’il lui retire ce même patronyme pour ne plus être associée à celui qui l’a faite, biologiquement et politiquement.

C’était en 2018, lorsque liquider Le Pen pouvait encore rémunérer.

Cette catin se met en scène aujourd’hui avant d’aller chez ses maîtres juifs en Amérique pour mendier la poursuite de sa « carrière » sans intérêt.

La parenté du sang n’est pas la garantie de la parenté de l’esprit.

Je ne serais pas plus royaliste que le roi.

Les femmes sont les êtres les plus vils de cette terre, ne laissez jamais personne essayer de vous convaincre du contraire.

Les femmes ne sont pas des êtres humains, qualité réservée aux seuls hommes, mais des mammifères dont la hauteur morale se situe au niveau des hyènes. Et encore, jamais les hyènes n’ont prétendu avoir de moralité.

L’équation, éternelle, est encore une fois démontrée : laissez la femme aux commandes, sa première action consistera à faire entrer les juifs.

Les pires enjuivés sont réunis, comme des charognards, tandis que les fidèles sont chassés.

Jean-Marie a cru qu’une dynastie avait du sens.

Le Führer en faisait le reproche à Bonaparte, voyant avec une grande clairvoyance qu’à l’ère des révolutions populaires et nationales, asseoir sa famille sur tous les trônes d’Europe était un défi lancé à l’histoire qui ne pouvait se conclure qu’en désastre.

Aucune des crapules précitées ne rendra hommage à Jean-Marie Le Pen l’année prochaine, ni jamais.

Le lepénisme est mort, étouffé avec un oreiller par une fille indigne, rendue haineuse par sa jalouse stupidité.

Ma colère n’est pas une colère de résignation ou de désespoir, mais une colère salvatrice, de dissipation des impostures.

Je terminerai par un seul mot : vive le roi quand même !

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