Un Britannique sur cinq chez les 18-45 ans rejette la démocratie

La Rédaction
Démocratie Participative
14 janvier 2025

Oswald Mosley avait raison

Un Britannique sur cinq veut l’instauration du fascisme.

The Guardian :

Un Britannique sur cinq de la génération Z et du millénaire préfère des dirigeants forts, sans élections, à la démocratie, et les électeurs se sentent globalement déprimés par la politique, selon un rapport.

Le sondage, qui sera publié la semaine prochaine dans le cadre du rapport FGS Global Radar, révèle que 14 % des personnes sont d’accord avec l’affirmation suivante : « Le meilleur système pour diriger efficacement un pays est un dirigeant fort qui n’a pas à se préoccuper des élections », plutôt que l’alternative : “Le meilleur système pour diriger efficacement un pays est la démocratie”.

Cette proportion atteint 21 % chez les personnes âgées de 18 à 45 ans, qui ont répondu que le meilleur système était un dirigeant fort sans élections. En revanche, seuls 8 % des plus de 55 ans préfèrent ce système à la démocratie.

Le rapport de sondage FGS a révélé que les hommes étaient plus susceptibles de s’éloigner de la démocratie que les femmes (17 % contre 13 %), et que les électeurs de Reform UK étaient légèrement plus susceptibles de s’éloigner de la démocratie que les électeurs des autres partis (17 % contre 16 % pour les travaillistes, 14 % pour les conservateurs, 9 % pour les libéraux-démocrates et 8 % pour les écologistes).

Bien que l’année dernière ait été marquée par un raz-de-marée travailliste, un changement de gouvernement au Royaume-Uni et une deuxième administration Trump aux États-Unis, près d’un électeur sur quatre a déclaré qu’il pensait que voter n’avait pas fait de différence. Les personnes les plus désillusionnées par le vote étaient âgées de 25 à 44 ans, trois sur dix affirmant que cela ne faisait aucune différence.

L’enquête a révélé un certain pessimisme quant à l’état de la politique britannique, 47 % des personnes interrogées affirmant qu’« aucun des partis politiques actuels ne représente l’intérêt des citoyens ».

L’enquête menée auprès de 2 000 adultes en âge de voter a révélé que 23 % d’entre eux pensent que « le Royaume-Uni va dans la bonne direction », tandis que 64 % sont d’accord avec l’affirmation suivante : « On a l’impression que le Royaume-Uni traverse une période de fort déclin ». 59% pour cent des personnes interrogées estiment que « les meilleures années du Royaume-Uni sont derrière nous ».

Il n’y a guère que les boomers pour croire unanimement à la démocratie.

Les hommes blancs en âge d’être persécutés par l’immigration et les impôts sont bien plus lucides et réalisent l’escroquerie que représente un tel système politique qui confine à l’esclavage pur et simple.

Personne ne sait exactement pourquoi des élections résoudraient quoi que ce soit. Elles reposent sur un concept complètement idiot selon lequel 51% des gens ont raison du seul fait qu’ils sont 51%. Qui peut imaginer un système aussi aberrant, surtout quand les médias aux mains de l’oligarchie font la pluie et le beau temps ?

Un tel système pourrait proclamer qu’une foule de punks à chiens est plus douée en musique que Mozart, du seul fait de leur nombre.

Il est évident que l’immigration est un désastre, les sondages d’opinion indiquent tous un rejet massif de ce projet de remplacement des Blancs par le tiers-monde, mais la démocratie poursuit sa mise en place année après année contre la volonté du peuple. Les gens ont du mal à comprendre que la démocratie est par définition conçue contre le peuple. Cela n’est possible que parce que les gens oublient l’essentiel lors des élections pour se quereller à propos de partis et de politiciens sans importance tandis que le système continue en pilotage automatique.

La Chine n’a pas d’élections et elle est devenue la première puissance économique du monde en 40 ans de travail.

C’est d’autant plus absurde que personne n’applique le principe démocratique nulle part ailleurs. Ni dans une famille, ni à l’école, ni dans une entreprise, ni à l’armée. Surtout pas à l’armée où tout est une question de vie ou de mort.

Nous avons des élections depuis 150 ans en France, voire plus, et nous avons l’une des classes politiques les plus incompétente, inculte, lâche et corrompue d’Europe. Et à cause de ces élections, nous ne pouvons pas nous en débarrasser car des idiots continuent de voter pour eux sans savoir pourquoi.

Les gens n’ont spontanément aucun intérêt pour la politique et ne veulent pas être troublés par ces questions. Ils veulent mener une vie apaisée et que les dirigeants du pays fassent leur devoir.

Quand on y réfléchit, on ne sait même pas comment ces démocraties occidentales ont pu durer si longtemps au vu des ravages dont elles sont responsables.

Il ne faut pas céder sur ce point et marteler que seule une solution autoritaire et révolutionnaire pourra apporter des réponses à la hauteur de la gravité de la crise. C’est une évidence, la démocratie est une plaie incompatible avec la France et, franchement, avec n’importe quel pays, sauf peut-être les Îles Féroé ou l’Islande, qui sont essentiellement des villages et qu’il n’y a pas assez d’habitants là-bas pour faire quoi que ce soit.

Ce sentiment anti-démocratique doit être cultivé dans les masses en soulignant l’incurie de ce système. Cela finira par produire des possibilités nouvelles.

En France, nous souffrons racialement, mais il est même possible de régler la question raciale par la seule instauration du fascisme. Le fascisme repose sur l’élitisme de masse. D’évidence, jamais des noirs ou des arabes ne produiront d’individus exceptionnels, si bien qu’une France fasciste serait de facto une France raciste. Parler de la question raciale est essentiel, mais en pratique ce n’est même pas indispensable dans une France fasciste où par définition l’homme blanc serait le maître du seul fait de ses qualités.

Je souligne ce point car à force de parler d’immigration ou d’islam, on en vient à ne pas évoquer ce que nous voulons proposer comme formule politique au 21e siècle. Les gens ont besoin d’un horizon et la démocratie ne peut leur donner que du désespoir.

Il est vrai cependant que le fascisme est apparu pour la première fois au lendemain de la Première guerre mondiale par l’action de vétérans habitués à être organisés pour le combat.

Nous dépendons toujours des circonstances, mais les principes fondamentaux demeurent.

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